Dans les 4000 îles, nous avons aussi beaucoup marché sur les chemins.
On a croisé beaucoup d'enfants. Ils jouaient souvent.
Ici, la balle au prisonnier sans balle mais avec des tongues.
Ici, le jeu e transvaser des cailloux dans des bouteilles.
Ici, juste avec un emballage qui fait du bruit
Ici, on traîne dans la boue
pour finir dans l'eau du Mékong
Le fleuve c'est leur salle de bain,
leur robinet d'eau ( ici avec une pompe à la main )
(quand on habite plus loin, il faut porter l'eau...)
et le fleuve pour les enfants c'est surtout leur piscine
On leur a offert un ballon.l Ils étaient tous timides et c'est le plus petit qui est venu le chercher. Sur la photo on dirait que je suis une géante.
Il est retourné tout de suite dans l'eau. Tous les enfants criaient tout énervés.
Il avait bien compris que c'était le sien.
Ils ont joué longtemps avec.
Le ballon s'était dégonflé un peu mais heureusement Clémence était là.
Elle a montré comment le regonfler.
Et hop, c'est reparti.
On avait pas prévu que les enfants étaient nos voisins et que le lendemain matin, à 6 h ils allaient se disputer le ballon en criant et pleurant tout près de nos cabanes...
Au Laos, on joue à la pétanque partout depuis que les Français sont passés par ici dans les années + -1900-1950.
Ils jouent très sérieusement.
Le terrain est limité parfois avec des bambous.
Quand ils jouent, ils emploient des expressions françaises comme " c'est bon..."
Dans l'île, il y avait une machine qui faisait du bruit dans la journée C'était une trieuse de riz.
Le riz avec encore son enveloppe était placé sur un grand plateau qui se secouait rapidement.
Ils passaient par plein de niveaux différents pour finir par s'écouler tout blanc sans son enveloppe.
On a beaucoup aimé ces îles et ses habitants très gentils et souriants.
Jusqu'au dernier soir, nous l'avons découverte à vélo car ici le vélo c'est le roi...
Sur cette photo, on voulait se tenir comme des Anglais sur un vélo mais Clémence n'a pas compris
Le soleil se couchait et le cochon aussi.
Le lendemain, on repartait.
Nos sacs prenaient beaucoup de place dans la pirogue.
On se retourne une dernière fois pour dire au revoir à notre logement.
Nous arrivons sur la côte
au moment du nettoyage des camions
Nous on prenait le bus local pour aller dans la ville de Paksé à 100 km plus au Nord.
Normalement il devait partir à 10 h mais on a attendu longtemps.
Dans ce cas là, on a toujours un livre pas loin.
Sur la route, il y a eu quelques arrêts pour faire monter des passagers.On était plein
Les vendeurs nous proposaient de la nouriture. Ici, on croit que c'est du poulet
mais là, on ne sait pas et Noé n'a pas envie de savoir.
On attendra d'être arrivé pour manger...
nb ; cet article est le 100 eme de notre journal !