A mon tour d'aller me balader sur le scooter dans et autour d'Ubud.
Mais jamais sans un bon petit déjeuner composé ici de bananes, ananas papaye et mangue
avec un peu plus de goût que celles de Carrefour.
C'est parti ! (Presque toute les photos de ce reportage, c'est moi qui les aient faites, Clémence Repoortère.)
Je voulais vous expliquer les offrandes que l'on voit partout ici.
Pour être bien vu de leurs Dieux, tous les matins, des femmes apportent des petites paniers en feuilles de bananiers comme des cadeaux qu'elles viennent poser partout, dans des petits temples, sur les trottoirs, les escaliers, dans les magasins, les restaurants, les taxis, les mobylettes...
Dans le panier, il peut y avoir des fleurs, des bonbons, du riz, des pâtes, des sous, des biscuits et toujours des encens.
La où il y en a le plus, c'est devant les temples.
Au marché, au milieu des fleurs
on peut acheter son offrande
mais beaucoup les font eux mêmes. Des dames nous ont montré comment on tressait.
Dans la rue, il y avait aussi de belles compositions de fleurs flottantes
On reprend la route après un arrêt à une station essence
Près du grand palais, une troupe de musiciens repettait.
A coté du gong un vieux Monsieur faisait la mesure avec sa tête.
Plus loin près du terrain de foot, des sacs posés sur le trottoir regardaient le cour de gym d'une école.
Sur la route, on croise plein de choses qu'on a pas l'habitude de voir en France.
Des mobylettes armoire
des mobylettes à soupe
des mobylettes à eau
ou des mobylettes très très chargées
des mobylettes à mais grillés
des mobylettes familles
et des vélos seau et balais
la même chose mais à pieds
On croise des dames qui portent du léger sur la tête
juste derrière du plus lourd
et plus loin, du haut et cassant
Dans une voiture, un chauffeur mort ? non seulement fatigué
Tiens, un zèbre au milieu des girafe chez un marchand de sculptures sur bois. Qui a dit que ces animaux habitaient seulement l'Afrqiue ?
et pour les scultures de pierre, il y en avait des presque drôles qui ressemble à quelqu'un qu'on connaît...
des qui rigolent comme le grand méchant loup
des coquettes
des pas contentes ( qui ressemble aussi à quelqu'un qu'on connaît )
et d'autres qu'on dirait des vraies.
Des portes sculptées qui donnent envie d'entrer
et des masques qui ne donnent pas envie de rentrer
Plus tard dans l'après midi, en prenant un tout petit chemin on a vu des belles rizières sous une belle lumière.
On a continué à pieds.
Pas loin des canards au milieu de la rizière
Un paysan fauchait son champs à la main avec une faucille.
Il était pas trés jeune mais il était fait que de muscles
Pas loin une dame ramassait des feuilles et les coupait en petit bout. Elle nous a dit que c'était pour les bébés.
On s'est assis. Elles nous a proposé une noix de coco à boire. Elle l'a coupée et nous l'a donnée.
J'étais bien au milieu des rizière avec mon jus. C'était très bon mais pas très frais. On était deux mais il y avait à boire pour 6.
Autour de nous, c'était comme un spectacle de belles images.
Un petit temple
une petite fille dans les champs
De l'autre coté des paysans
Un chapeau qui se reposait
des sacs qui attendaient d'être transportés
un monsieur assis près des cabanes qui regardait les champs sans bouger
et toujours ces dames qui portent tout sur leur tête
Le jour tombait. Les nuages faisaient des formes. J'ai compté 5 bonhomme dont deux sorcières qui se cachent. Les voyez vous ?
On est retourné à notre logement.
De notre balcon le ciel était devenu orange et du mauve
C'était l'heure du repas. J'aime bien ce moment parceque avec Camille on se faisait belles avec nos robes et des fleurs dans les cheveux.
Voici ce que l'on mangeait souvent, du Nasi Goreng ça veut dire riz frit. Celui là c'était le spécial parcequ'il y avait en plus une petite brochette de poulet, un oeuf coulant et une chips salée à la crevette.
Le riz, heureusement qu'on aime ça sinon on pourrait pas rester ici...
J'aime bien ces journée où on part sans savoir où l'on va.
En Asie, il y a des découvertes partout où l'on regarde.
Sur ce continent, Papa et Maman nous on dit qu'on allait rester longtemps. Je suis trop contente !