Les crottes de la dernière question sont celles d'une girafe ( faites 3 secondes avant la photo )
C'est la famille Bittou qui a gagné avec pas d'erreur du tout sauf peut être pour la 18 mais ça compte pas parceque nous non plus on sait pas. ( si c'était un ver, il avait des pattes, peut être mille ? ). Pour le résultat de tous les noms, vous pouvez aller lire leur liste.
Les cartes postales sont déjà parties d'Afrique du Sud, Bravo !
Pour tout ceux qui ont participé, comme on l'a dit, il y aura un prix de consolation, des baisers de nous 3 sur vos joues à notre retour...
Demain, on revient avec un nouvel article, c'est promis.
Camille, Clémence & Noé
Voyage de 356 jours - Page 28
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Afrique du Sud - Résultat du jeu des Animaux
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Afrique du Sud - L'arche de Noé ( Cam,Clé,Noé)
Nous voici en Afrique du sud.
Johannesburg est très très différent d'Antananarivo qu'on venait de quitter.
C'était bizare, on aurait dit qu'on était sur l'autoroute de Bruxelles.
On est allé tout de suite à Pretoria.
On est venu en Afrique du Sud pour aller voir les animaux dans leur milieu naturel.
On avait très envie d'y aller très vite. Papa et Maman aussi. Ils en rêvent depuis tout petit. Nous sommes allés dans une réserve au milieu dans ancien volcan, puis une autre plus loin aussi grande qu'un pays.
Ici on parle des "Big Five" c'est à dire les 5 grands : lion, le buffle, le rhinocéros, le léopard et l'éléphant, mais il y en a plein d'autres.
On a loué une voiture et après on peut circuler dans la réserve où l'on veut en restant sur les pistes, en ne roulant pas trop vite et surtout ne jamais descendre sinon Miam, Miam... La première fois, on ne savait pas ce qu'on allait avoir comme couleur de voiture.C'était pas le mieux pour être discret et peut être même que le buffle est comme le taureau, il aime pas le rouge ? La deuxième fois, Papa a demandé une grise.
Pour l'une des réserves, on s'est levé à 5 h du matin pour rentrer dans le parc au moment du lever du soleil à 6 h quand les animaux se réveillent aussi.
Voici quelques photos de nos rencontres avec les animaux pendant notre séjour ici.
Et si on faisait un jeu ?
Chaque animal aura un numéro. Celui qui arrive à donner le plus de bons noms aux animaux gagne....deux cartes postales envoyées chez lui, une du drapeau de l'afrique du sud et l'autre des Big Five !
Il y en a des faciles et des moins faciles et des très difficiles
Attention, les réponses doivent être données dans les commentaires avant mercredi 17 octobre à midi pour que les cartes puissent partir d'ici sinon ce sera d'Australie.
A vos marques, prêt, trouvez !n°1
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n°23
Si il y a des égalités, une dernière question : A qui appartiennent ces crottes ? Indice : elles sont de la tailles d'une noix -
Mada - Veloma ! (Cam, Clém, Noé)
Avant de quitter Madagascar, nous voulons remercier Franckie avec qui on a préparé notre parcours
et Riri ( Henri ) notre guide toujours avec le sourire, le meilleur siffleur de l'île.
Henri va construire sa maison dans la campagne près de Tana. On est allé voir ensemble. Aujourd'hui, il n'y a qu'un puit et un tas de brique.
Si on revient un jour à Madagascar, on a promis de retourner voir sa maison construite.
Alors à bientôt Henri et n'oublie jamais ton sourire !
Au revoir (veloma) Madagascar !
Bonjour l'Afrique du Sud pour de nouvelles aventures... -
Mada - Dernier cadeau (Cam)
Pour se reposer après 5 semaines de voyages et avant l'Afrique du sud, nous nous sommes arrêtés à l'île aux nattes, une toute petite île en dessous de l'île St Marie sur la cote Est de Madagascar.
On y arrivait par pirogue. Il n'y avait aucune voiture, aucune route, que des chemins en terre et en sable.
C'est par la plage qu'on arrivait à notre case au bord de l'eau.Clémence avait du mal à monter l'escalier avec son sac.
Derrière les palmiers se cachait notre petite maison au paradis pour 5 jours.
Lorsque je sortais de la case, je faisais 6 pas et quand je regardais sur la droite, voilà ce que je voyais. ( sur la gauche c'était pareil )
Lorsque je levais la tête, je voyais du vert au milieu du bleu.
On a fait ici tout ce que l'on voulait faire c'est à dire : RIEN !
On se levait avec le bruit des vagues, on s'endormait avec le bruit des vagues. ( elle fait du bruit la mer quant elle est toute prêt surtout la nuit )
De la fenêtre, du soir au matin, on voyait des pirogues passaient,des dames qui péchaient
et de temps en temps, au loin, une queue de baleine qui claquait sur l'eau.
On s'est construit des bateaux avec des noix de coco et son écorce.Clémence a essayé un radeau.
Tous les deux, à égalité, ils ont coulé...
On mangeait souvent la pêche du jour toute fraîche.
Avec Papa, on faisait Fort Boyardmais on travaillait aussi un peu...
Avec Clémence, on s'habituait bien à nos tresses.Comme il faisait chaud, c'était pratique.
On a fait des tours de l'île en marchand par la plage.Il faisait beau, un chien nous a accompagné toute la journée.
On a grimpé aux arbres.
On a cherché des coquillages troués pour faire un collier.
On en a vu un gros,
mais quand on a voulu le prendre il était plein, il s'est réveillé. On l'a laissé tranquille.
Sur les rochers, on a croisé des crabes qui marchent de travers et d'autres tout petits qui vont très vite et se cachent dans le sable.
Quand on avait vraiment trop chaud on allait dans l'eau...
Un autre jour, par l'intérieur on est allé jusqu'au phare en passant le cimetière des pirates.
Encore un autre jour où il faisait moins beau,on a traversé des villages et des rizières.
Il y a eu aussi l'épisode du lémurien. C'était drôle de le voir monter sur les tables tout près.Sauf quand un matin il s'est approché de la notre très très près. Maman a mis sa main pour dire non.
J'ai mis ma main pour dire non aussi.
Mais il savait pas que ça voulait dire non.
Tous les soirs on regardait le coucher du soleil,on courait un peu avant le diner.
Un soir, la veillé, c'était de retirer les tresses de maman.
Dans le resto d'à coté, entre les tête de crocodiles,les machoire de requins
et les espadons,
j'ai appris à battre Papa au baby foot ( mais pas Maman )
C'était nos dernier jour à Madagascar.
Pour retourner sur la grande île, c'était une aventure.
A 4 h du matin, en pleine nuit sans lune et sans lumière ( il n'y avait pas d'électricité la nuit ), on a traversé l'île aux nattes avec nos sacs jusqu'à une pirogue qui nous a ramené par la mer dans le noir jusqu'à l'île St Marie.
Deux vieux taxis nous attendaient pour aller jusqu'au port se St Marie par une route pleine de trous. ( plus d'une heure pour faire 15 km ). Arrivé au port, il pleuvait. Le bateau qu'on devait prendre était en panne. On en a pris un autre plus petit.
Les bateaux devaient partir tôt pour Madagascar parcequ'après la mer était agitée. Dans le bateau j'ai eu droit à un grand seau bleu que j'ai rempli. On devait mettre une heure pour traverser, on a mis deux heures.
Avant l'arrivée, le conducteur du bateau devait calculer pour passer entre deux grosses vagues... j'étais contente quand le bateau s'est arrêté sauf que l'on reprenait juste après un taxi brousse pour 4 heures de routes...
Mais tout cela n'était rien car à l'île aux nattes j'ai eu un rendez vous extraordinaire que je n'oublierai jamais, et que toute la famille aussi. Ce n'était pas prévu, c'était un jour en faisant la traversée jusqu'à l'île St Marie...
C'était un moment magique et le plus beau des cadeau que pouvait nous faire Madagascar à la fin de notre voyage.
Madagascar, je t'ai beaucoup beaucoup aimé -
Mada - Derniers kilomètres sur la N7 (clém)
Nous avions pris notre temps pour descendre en bas de Madagascar mais nous devions remonter en deux jours pour terminer notre voyage à Madagascar par un peu de repos sur une île à l'est.
Il y a des avions pour le faire mais on a préféré remonter en voiture pour une dernière fois admirer les paysages et le spectacle des gens sur la route.
Il y a eu des pistes,des chemins et des routes, des virages, des lignes droites, des courbes, des routes de montagnes, des routes de campagnes, des routes de villages, des routes de ciel bleu, des routes aux dessus des nuages, des routes de jolis paysages des routes de linges qui sèchent, des routes d'arbre tout seul et des routes de baobabs et toujours le spectacle des gens qui marchent, qui poussent, qui tirent, qui portent, qui pédalent, qui vendent où qui attendent je ne sais pas quoi...
Toutes ces routes n'étaient qu'une seule, la nationale 7.
Je me suis assise sur un caillou une dernière fois à coté d'elle.
Pendant des semaines, elle m'a raconté mille belles histoires
que je garde dans ma mémoire
pour les raconter un jour à mes enfants...